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Vandaag in de Franstalige pers: De politieke en geografische middelen

Meer autonomie en responsabilisering voor de 'gefedereerde entiteiten'.

Roger Vanhoutte19/7/2011Leestijd 1 minuut

Een opvallend ‘radicaal’ voorstel van La Libre Belgique: wat meer autonomie en responsabilisering voor de ‘gefedereerde entiteiten’ zoals de Vlamingen willen, maar voor de Franstaligen ‘politieke en geografische middelen’ om een echte federatie Wallo-Brux te maken met een ’territoriale verbinding’. Kan dat anders begrepen worden dan een groter Brussel met een corridor naar Wallonië? Dat zou het (ruil)middel moeten zijn om de communautaire spanningen weg te nemen en verdedigers van een scheiding van het land te doen zwijgen. Waar het zogenaamde stijf gehouden been van de CD&V al niet goed voor is.

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Il faut se rendre à l’évidence. Négocier avec la N-VA ? C’était de la folie. Les hommes politiques ont été bien naïfs de croire que les nationalistes flamands voulaient un accord. Non. Ils cherchaient juste à occuper le terrain politique et médiatique. Chapeau. On n’a parlé que d’eux pendant un an. On s’est tous fait avoir. Tant pis.

Négocier avec le CD&V ? C’est malheureusement indispensable. Même s’il faut pour cela avaler des boîtes de Prozac tant leur attitude est déprimante, irritante, horripilanteil faut trouver le moyen de dégager un accord avec eux. Numériquement, politiquement, ils doivent être là.

Mais il va falloir négocier autrement. D’une part, la technique proposée par Wouter Beke, à savoir accepter toutes ses exigences avant d’entrer en négociation, est inacceptable. Ce sont des manières d’enfants gâtés. Si on lui donne raison aujourd’hui, il posera d’autres exigences demain.

D’autre part, les petits pas, les changements à la marge, ça n’ira pas non plus. Pourquoi ne pas être plus radical et proposer un autre équilibre qui va plus loin dans l’autonomie et la responsabilisation des entités fédérées, comme le veulent les Flamands, mais qui donne aussi aux francophones les moyens politiques et géographiques de créer une vraie fédération Wallonie-Bruxelles avec un lien territorial à l’intérieur d’une Belgique plus légère mais viable. Ne serait-ce pas là, une solution pour éteindre, fût-ce l’espace de quelques années, ces querelles communautaires qui nous fatiguent tous ? Un moyen aussi de faire mentir et taire ceux qui plaident pour ce scénario radical et détestable que serait la scission du pays ?

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