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Vandaag in de Franstalige pers: Een ware scheldpartij (14 juli 2011)

14/7/2011Leestijd 1 minuut

De CD&V is de gebeten hond. Dat is al zo in de Vlaamse pers, maar de nijd en partijdigheid zijn nog erger in de Franstalige kranten. Journalistieke regels zeggen dat je geen scheldwoorden moet gebruiken. Commentaren mogen scherp zijn, maar vulgaire scheldpartijen beschadigen de auteur. De ooit zo ernstige belgicistische La Libre Belgique is zo kwaad op de vroegere Vlaamse broeders van de christen-democratie dat de commentator vervalt in een taalgebruik beneden elk niveau. Met termen als: een partij van ‘windhanen, lafhartigen en slapjanussen’. Het zijn Voldemorts (de slechterik in de Harry Potter-verhalen) die rondsluipen in de Wetstraat, enz. En ze zijn erger en geniepiger dan de N-VA … Het geeft een idee van de druk die op de CD&V wordt gelegd. Leterme was daar in 2007 in elk geval niet lang tegen bestand.

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Voldemort 

Cela devient insupportable. Non cela ne devient pas : c’est insupportable.

Quoi ? L’attitude du CD&V, ce parti de girouettes, de pleutres et de mollassons. Désolé, mais on en est là. Tout un pays est soumis au bon vouloir ou plutôt à l’inconstance des dirigeants du CD&V. Oui, le grand parti démocrate chrétien flamand, celui qui a livré tant et tant d’hommes d’Etat à ce pays.

Qu’en reste-t-il ? Rien. Un parti d’hommes émotifs, perdus, opportunistes. Le sens de l’intérêt général a définitivement quitté ce parti. Et ceux qui tentent encore de maintenir un semblant de sens de l’Etat, Yves Leterme par exemple, n’osent quasiment plus s’exprimer à l’intérieur des instances du CD&V, un parti désormais aux mains d’apprentis sorciers. Ces Voldemort qui rôdent rue de la Loi.

Excessif ? Non, ce qui est excessif, c’est l’emprise qu’exercent sur ce parti les tenants de la ligne radicale et suicidaire, les amis d’un Kris Peeters, dont le seul objectif est de se maintenir à son poste avec la bénédiction du patron de la N-VA.

Dans quelques années, peut-être, les historiens se livreront à de subtiles analyses sur ces mois, tristes et maussades, que la Belgique vit. Peut-être décèleront-ils dans les jeux politiciens du moment, l’origine du mouvement qui conduisit la Belgique à son éclatement Car au train où vont les choses, on peut se demander qui parviendra encore à ramener les pyromanes flamands à la raison. On savait ceux de la N-VA perdus à la jamais dans leur nationalisme bête et méchant.Mais il y a ceux, plus sournois, du CD&V. Peut-être sont-ils pires.

 

Francis Van de Woestyne, La Libre Belgique, 14 juli 2011

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