Een roepende Van de Woestyne
Nieuwe hoofdredacteur La Libre Belgique
Francis Van de Woestyne krijgt een nieuwe rol bij La Libre Belgique. Hij ‘informeert’ de Franstalige publieke opinie al jaren met zijn invloedrijke pen. Een bloemlezing.
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Ik neem ook een abonnementFrancis Van de Woestyne wordt op 1 oktober de nieuwe hoofdredacteur van La Libre Belgique. Hij werkt al sedert 1983 voor die krant waar hij opklom tot chef politiek en vaste commentaarschrijver van het blad. ‘De ervaring van Francis als politiek journalist kan ons alleen maar ten goede komen, zeker met het oog op 2014’, klinkt het bij La Libre. Doorbraak selecteerde enkele citaten uit het krantenoeuvre van Van de Woestyne, die al jaren lang een bijzondere belangstelling aan de dag legt voor doen en laten van Vlaams-nationale politici. We huldigen voor deze ene keer het motto: pour les flamands la même chose.
‘Il est impossible de séparer le venin (le nationalisme) du reste (le programme libéral).’
(Le chat de Flémalle, 3 september 2013)
‘Aux élections de 2019, la N-VA avait fondu comme neige au soleil, délaissée par des électeurs qui avaient bien dû constater que voter N-VA, c’était finalement choisir l’immobilisme, le repli. En un mot, la tristesse.’
(Le 21 juillet 2038: Le secret Fiction, 24 juli 2013)
‘Accédant à la majorité de la ville d’Alost, la N-VA s’est empressée de créer un échevinat qui aura notamment pour mission delutter contre la francisation de la ville. (…) N’ayons pas peur des mots, cela s’appelle de l’épuration linguistique.’
(Aalst (Alost), 20 oktober 2012)
‘Il n’est pas choquant de rappeler que Mme Morel a milité au sein d’un parti, le Vlaams Belang, héritier du Vlaams Blok, parti déclaré raciste par la cour d’appel de Gand. (…) elle n’a en rien renié les convictions xénophobes, flamingantes, nationalistes du Belang qui n’attend qu’une chose : “Que la Belgique crève”.’
(Respect et dégoût, 15 februari 2011, een paar dagen na de begrafenis van Marie-Rose Morel)
‘Non, toute la Flandre n’est pas raciste et nationaliste. Certes non. Mais quand des personnes ou des partis prônent de telles idées honteuses, haineuses, il faut encore pouvoir le dénoncer. Quand Bart De Wever juge que l’ancien président du Vlaams Belang, est un “grand monsieur”, on a encore le droit d’être choqué.’
(Respect et dégoût, 15 februari 2011)
‘Bart De Wever souhaiterait devenir informateur, formateur voire Premier ministre pour mieux faire exploser le pays qui n’est pas le sien et donner enfin son indépendance à ce plat pays qui est le sien.’
(De Wever “libre de voir qui il veut…”, 9 oktober 2010)
‘La N-VA a réussi à conduire le pays là où elle le souhaitait : dans le doute fondamental. Les marchés financiers vont bientôt nous le faire payer très cher. Au pays, et à ses contribuables. Nous pourrons bientôt tous dire : Dank U, Bart.’
(Dank U, Bart, 4 oktober 2010)
‘Les francophones ont beaucoup enduré dans cette négociation. Ils se sont pliés aux nombreux caprices de M. De Wever, quitte à apparaître pour des pleutres, des mendiants. Maintenant, cela suffit. Le mépris n’est pas un moyen de négociation.’
(Inconciliable, 3 september 2010)
‘La surenchère idéologique et la provocation sont devenues la technique de négociation de la N-VA.’
(Oser dire “non” à Bart, 24 augustus 2010)
‘Bart De Wever est dans l’incapacité presque physique de faire un pas vers les francophones, d’accepter que la solution proposée ne soit pas un copié-collé de son programme.’
(Mais que cherche vraiment Bart De Wever ?, 14 augustus 2010)
‘Stop! Bart De Wever a été forcé de respecter le jeu des institutions et il s’est plié aux traditions: audiences chez le Roi, entrevues avec les décideurs de la Nation. Gardons les yeux ouverts. Oui, c’est avec lui qu’il faudra négocier, mais sans jamais oublier que son dessein n’a pas changé, et que son objectif final est et reste la scission du pays.’
(Garder la veste, 2 juli 2010)
‘Dans son traditionnel rôle de pyromane, Bart De Wever, le président de la N-VA, a redit du haut de son podium que selon “sa” démocratie, aucune autre langue n’était tolérée dans son jardin périphérique.’
(Vous en avez déjà marre de BHV ?, 2 april 2010)
‘Bart De Wever, lui-même. Il a en tous les cas le mérite de la franchise. On sait où il veut conduire la Flandre, vers son indépendance. Pour lui, aucun compromis ne sera jamais acceptable tant que ce but ultime ne sera pas couché sur papier.’
(Le CD&V : un grand corps malade ou une machine redoutable ?, 16 mei 2008)
‘Et la présence de la N-VA ne facilite évidemment pas les choses. Bart De Wever tire sans arrêt les Flamands vers le séparatisme.’
(Les raisons du blocage, 17 augustus 2007)
‘La seule présence de la N-VA, en cartel avec le CD&V, garante de la ligne la plus dure, empêche une certaine détente même si son représentant, Bart De Wever, est plutôt un homme de bonne compagnie.’
(Mais oui, tout va très bien, M. Leterme, 1 augustus 2007)
Etc.
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Daniël Walraeve (1988) is het pseudoniem van een brave historicus die eigenlijk maar één onhebbelijk trekje heeft: hij is een onverbeterlijke consument van traditionele media. Elke dag leest hij zowat alle kranten en elke dag wordt hij dan weer vreselijk boos om een of ander editoriaal of ander naïef opiniestuk. Hij kan er zelf echt niets aan doen, tenzij er af en toe een stukje over plegen voor Doorbraak. Stokpaardjes zijn ideologie, identiteit en samenleven.
Met een communautaire campagne graaft De Wever zijn eigen graf. Dat vertikt hij.
‘Afgrond’ verhaalt de waargebeurde verhouding tussen Venetia Stanley en de veel oudere Britse premier Henry Asquith, die leidde tot een kabinetscrisis.